La cryothérapie relève des actes dont l'arrêté du 6 janvier 1962 réserve la pratique aux docteurs en médecine. Cette rectriction ainsi apportée à la liberté d'établissement et au principe de libre prestation de services est justifiée par l'intérêt impérieux de protection de la santé publique.
A la suite d'une séance de cryothérapie dispensée par un institut de beauté, un homme a subi des engelures lui ayant occasionné une incapacité totale de (...)Cet article est réservé aux abonnés