Limites d'une chronique satirique : atteinte à la vie privée de l'enfant

Limites d'une chronique satirique : atteinte à la vie privée de l'enfant

Un imitateur ne peut se référer précisément à un enfant dans une chronique satirique visant d'autres membres de sa famille, sans porter atteinte à la vie privée de cet enfant.

Un imitateur, dans le contexte d'une chronique satirique animée quotidiennement sur une station de radio, a contrefait la voix d'une petite fille dans un dialogue faisant référence à ses parents et son grand père tous deux acteurs de la vie politique. Les parents de l'enfant, agissant tant en leur nom personnel qu'en qualité de représentants légaux de leur fille, ainsi que le grand-père, ont assigné en dommages et intérêts l'imitateur et la radio pour (...)
Cet article est réservé aux abonnés
Vous êtes abonné ?
Identifiez-vous
Vous souhaitez vous abonner ?
Découvrez nos formules